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Top articles
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Maurice Zundel : On ne subit plus ce que l'on donne...
photo André Campos Rodriguez Notre vrai moi se constitue par le désintéressement progressif d'un altruisme où notre intimité se conquiert dans le don qu'elle accomplit, se transforme en lumière dans le rayonnement d'un amour sans réserve et sans repli....
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André Campos Rodriguez : Ode pour l'oubli.
photo André Campos Rodriguez " Le rythme constitue la force magnétique du poème " MAÏAKOVSKI Oublier Sans cesse Oublier Tout ce qui souffle Sur nos douleurs Nos humiliations Nos amertumes Oublier Nos regrets nos remords De nos erreurs Les chemins amers...
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Rainer Maria Rilke : La huitième élégie de Duino
D'une pleine vue la créature voit l'Ouvert. Seuls nos yeux sont comme à rebours, posés tout autour d'elle ainsi que pièges, cernant la libre issue. Ce qui est au dehors, nous le savons seulement par la face animale ; car le jeune enfant déjà nous le ployons...
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André Campos Rodriguez : Un défilé de poètes de Bretagne
"La Bretagne des Écrivains"... Oui, il s'agit bien de cela : un défilé de poètes et d'écrivains d'origine bretonne, ancrés dans des terroirs intimes et sauvages, où des biographes lèvent le voile sur les lieux d'inspiration d'auteurs comme : Henri Queffélec,...
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Gil JOUANARD : Naître de la dernière pluie ...
Même si elle a bon dos, et même si son enviable réputation peut être sérieusement corrigée, la théorie des climats, qui stipule que les conditions météorologiques, et plus largement climatiques, influent sur l’humeur et même le caractère des individus,...
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J'ai lu pour vous...
Pierre Perrin / La Porte et autres poèmes / Éditions POSSIBLES, 96 pages, 10 Euros. C'est une heureuse surprise que de découvrir un petit (mais très dense !) choix anthologique, en deux parties, de poèmes en prose de Pierre Perrin, édité tout spécialement...
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J'ai lu pour vous...
Rio Di Maria, Énigmes du seuil, Poèmes et dessins, Les éditions de l'Arbre à paroles, 2018/ 158 pages / 15 Euros. Sans aucun préambule, nous sommes bien prévenus... Comme le titre l'indique, nous sommes, lecteurs, confrontés pour chaque poème à une énigme,...
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J'AI LU POUR VOUS ...
- Domi Bergougnoux : "Où sont les pas dansants ?", 47 pages, couverture et illustrations de Christian Arjonilla, préface de Robert Notenboom. Domi Bergougnoux, auteur-éditeur, 2017. *** "Où sont les pas dansants ?" est un très émouvant petit livre de...
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J'AI LU POUR VOUS...
- Guy Ferdinande : "POÉSIES" , 88 pages, Éditions Le Rewidiage Prods, Lompret 2017. Voici un très bel opuscule, joliment mis en page sur un beau papier blanc à la présentation soignée, et tiré à ... 30 exemplaires ! Comment définir les POÉSIES présentées...
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André Campos Rodriguez : J'AI LU POUR VOUS...
- Christian Degoutte : "Ghost notes", 40 pages, couverture et intérieur avec des peintures de Laurence Bernard, Éditions Potentille, 2016. Christian Degoutte nous livre, dans un joli petit recueil à la sobre et belle présentation, ses "Ghost notes"......
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Jeanne Maillet : Domaine du Levant
Maintenant que tout veille il y a une attente de plus dans la maison aux souvenirs. En quel lieu ? Près de quel mirage et sur quel promontoire cette statue sainte, cette pierre levée? Un effroi glisse sur la route assaille ton épaule d'homme Le ciel étire...
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Gil JOUANARD : EUGÈNE, MENHIR AU PIED D'ARGILE.
Cette complexité, qui détermine la spécificité de l’animal humain d’une façon générale, vient chez certains d’entre eux confiner au paradoxe. C’est ce caractère ou tempérament paradoxal qui, poussé à l’extrême, donne les caractériels de toute trempe....
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Guy FERDINANDE : TEMPS MAUSSADES
---------------------------------------- TEMPS MAUSSADES ———————————— . En ces temps-ci ou là, de tous les êtres vivants, l’humain est de son avis même le moins réussi, la perception jamais satisfaite qu’il a de lui-même justifie ce qu’il appelle “morale”,...
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André Campos Rodriguez : CONFIANCE DU JOUR
à Etty Hillesum (mon amie dans l'éternité du ciel ...) 1. Dès les premières lueurs débute claire et cristalline la quête d'une douceur Je lui ouvre mes jardins mes paradis d'enfance La lumière s'élève le ruisseau chante poème où de nouveau coule la racine...
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Daniel Thibaut : le Verger mémorable
Cérémonie de l'obscur Cet arbre venu tout droit de derrière l'hiver jette dans le vent le noir de ses branches se souvient des hommes le cœur rouge sous la chemise blanche et qui dorment aujourd'hui dans la nuit souveraine où circule le temps entre des...
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Daniel Thibaut : le Verger mémorable (2)
MARCHER DANS LE TEMPS Marcher dans le ciel, marcher dans le temps, se dire que notre vie se joue dans le mouvement des ombres passagères. Dormir à côté de soi, jeter derrière l'horizon les planètes de nos yeux, vivre sans nous dans le vif de la pierre....
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Alain Lemoigne : Quelques poèmes...
32 Il épousa le sol les eaux frappées de ciel. La plaine retrouvait les mouvements des blés les branches libéraient des oracles d'oiseaux. Corps, disait-il, fagot de douleurs mes yeux ont devancé l'épreuve de la nuit. Dès l'aube il s'arrêtait méditait...
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André Campos Rodriguez : Six notes suivi de Océan
SIX NOTES en La mineur... suivi de OCÉAN à Nimrod pour « Le Comptoir des lettres ». 1. Blancheur immaculée, offerte au silence où respirent les dieux, dis-moi où se cache ce qui doit surgir, briser l'unité, effacer l'immuable ? Comment éviter que la toute...
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Daniel Thibaut : le Verger mémorable (3)
Le monde en équilibre à chacun de nos pas. Plus rien ne se passe en dehors de soi. Sauf cette ombre dans le noir de l'ornière. Que sais-tu du temps sinon qu'il te traverse durcit ton visage et ralentit ton pas, que sais-tu du temps quand il passe le fleuve...
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NIMROD : LE SOLEIL À MORT
Nimrod avec André Campos Rodriguez en 1993 1 ma douleur est bien sage le temps rebondit sur le cyprès et le tombeau ils répondent aux murmures des anges ma douleur ne sera jamais sage le soleil brille indifférent à mon cœur qui l'aime et qui pleure 2...
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Yves NAMUR : Le cœur défait
On cherche dans la nuit ce à quoi on est habitué Et ce qui paraît encore raisonnable. On déplie du linge Parce que peut-être la vie promise s'y cacherait encore, On se fait des châteaux en Espagne Et des gâteaux de sucre brun, gros comme des montagnes...
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Véra Kretz : poèmes inédits....
Les jours après les jours courent toujours tristement Comme le flot monotone. Mais là où règne la lumière, l'allégresse et la paix, se promène un garçon aux yeux bleus. Il tient le violon - symbole de l'être, l'archet soupire joyeusement aux ascensions...
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Nimrod : L'EAU MONTAGNARDE
me voilà dans un paysage à peine entrevu le printemps y est limite été et je suis me dit-on au cœur du plus grand volcan d'Europe ( à Montpezat précisons-le sans accent) le projet à moi confié revient à dire l'eau -- son envol à l'image des cascades des...
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J'ai Lu pour vous : Patricia Suescum
Après "L'étreinte du Vide, suivi de Je suis la nuit" puis de "Mauvaise Herbe" : ces deux beaux recueils édités chez Rafael de Surtis en 2017 et 2018 ; voici sorti un opuscule de dix-sept textes, chez Citadel Road Édition en juin 2019 : "À l'heure où les...
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Jean KOVALEVSKY : L'esprit-source
L'âme est vivante, l'esprit est vivifiant. La paix n'est pas seulement qualité de l'esprit. L'esprit est source de la paix. La joie n'est pas seulement qualité de l'esprit, l'esprit est source de la joie. L'amour n'est pas seulement qualité de l'esprit,...